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La Composante 1 du projet FRONSEC permet de construire un dialogue entre pays partenaires et experts européens sur les fondations juridiques des contrôles des risques NRBC aux frontières.

La Composante 1 du projet FRONSEC a pour objectifs de :

  • Procéder à un inventaire des normes juridiques (telles que les conventions) et des textes présentant les bonnes pratiques  (tels que les guides) relatifs à la gestion des matières NRBC en général ;

  • Collecter les textes juridiques ou normatifs nationaux relatifs à la gestion des risques NRBC aux frontières dans les pays partenaires et les analyser au regard des références internationales pertinentes ;

  • Produire une analyse similaire de cadres juridiques et normatifs européens afin d’illustrer des cas de mises en œuvre des références internationales ;

  • Proposer et discuter, à partir des analyses produites, des recommandations aux pays partenaires sur base des réalités de terrain ;

  • Faciliter la mise en place d’un dialogue entre les pays partenaires et les institutions et organismes internationaux qui offrent un accompagnement dans la mise en œuvre des normes et bonnes pratiques renforçant les capacités nationales de gestion des risques NRBC aux frontières ;

  • Construire une offre de formation à distance sur la thématique de la « non-prolifération des armes de destruction massive ».

 

​Au cours de la réalisation du projet, les pays partenaires et l’équipe de la Composante 1 ont :

  • Inventorié au sein d’une matrice les sources de normes et bonnes pratiques internationales relatives à la gestion des matières NRBC en général ainsi que les statuts de ces références pour les pays partenaires du projet ;

  • Construit des matrices d’analyses des transpositions des normes et bonnes pratiques internationales applicables à la gestion des frontières pour les pays partenaires ainsi que, à titre d’illustrations, pour la Belgique et la France ;

  • Listé et débattu de conclusions de ces analyses, de recommandations et de priorités quant au renforcement des cadres juridiques des pays partenaires ;

  • Initié un processus de dialogue entre deux pays partenaires et des institutions ou organes internationaux chargés de soutenir la mise en œuvre complète des normes et bonnes pratiques identifiées comme prioritaires par les pays partenaires eux-mêmes à travers une série de rencontres multilatérales et bilatérales ;

  • Déployé la formation en ligne sur la « non-prolifération des armes de destruction massive » à destination des experts nationaux de deux pays partenaires.

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